Moi, j'avais une correspondante allemande, mais un jeune breton prénommé Yannick, du 49, à Avrillé, exactement, lui, avait un correspondant anglais, à Londres, à qui il envoie le 13 mars 1973 un pif gadget 367 avec son horloge, sous blister et dans une simple enveloppe kraft le tout sous blister.
Enveloppe que voici : Avec la date, bien visible ici : Apparemment, le challenge a été trop compliqué pour son correspondant, le jeune Steven M., puisqu'après sans doute plusieurs tentatives infructueuses pour monter cette horloge, il décide de tout arrêter pour passer à autre chose et range le pif et le gadget dans un tiroir.
49 ans plus tard, en février 2025, ce même Steven fait du tri dans sa maison, retrouve ce pif, et le met en vente sur internet, et c'est depuis le Pérou, qu'un certain Leobap, tombe sur son annonce en sirotant un pisco-sour près de sa piscine...

Du coup, j'achète le pif, le fait envoyer en France, et ce n'est que quelques mois après mon retour, fin mai donc, que j'ouvre le paquet et étudie le pif et le gadget.
Celui-ci en 49 ans a perdu 3 petits éléments ne permettant hélas pas de refaire l'horloge, (il manque les 2 axes principaux et une petite pièce de maintien), et c'est en regardant attentivement les 2 adresses différentes en Angleterre que je m'aperçois que la personne qui m'a envoyé ce pif est la même personne qui a reçu ce pif à Londres en 1976 !!

Incroyable, non ?

Une histoire que l'on ne trouve qu'assez rarement dans la vie d'un collectionneur, je trouve ça assez fabuleux.
