Ki-Gor Partie 31 : Récits 56 à 59 (Jungle Stories Vol.5 N° 8 à 11)
On y est ! Voici le résumé des quatre derniers récits de Ki-Gor publiés dans Jungle Stories.
Avant de commencer quelques explications :
Quatre récits mais seulement trois résumés. Vous aurez compris de quoi il s’agit pour le quatrième mais je vous laisse découvrir ci-dessous.
Quatre récits mais seulement deux illustrations. Cela vient du fait que deux d’entre eux sont sous forme numérique trouvés chez Radio Archives dépourvue, je le rappelle, d’images.
Il est étonnant de constater que les derniers numéros sont aussi compliqués à trouver que les premiers. Je pense que cela vient du fait qu’ils devaient être tirés à moins d’exemplaires (pure supposition de ma part).
Le dernier est quand même plus courant mais est l’un des plus chers (une centaine de dollars en moyenne pour un état moyen). Cela vient du fait qu’il contient une aventure de Sheena qui est d’ailleurs l’histoire la plus longue de la revue. Je reviendrai sur ce récit et le personnage qui n’aura pas connue une grande carrière sous forme de pulps prochainement.
Bon, tout est dit, je vous laisse avec les résumés.
56) The Silver Witch (2) : (printemps 1953)
Je dois vous avouer que quand j’ai découvert ce récit, j’étais extrêmement agacé. Il ne s’agit pas uniquement du dernier des sept titres repris par l’éditeur qui fera l’effort de proposer des titres inédits dans les trois derniers numéros mais simplement de la réédition de la même aventure, couverture comprise (qui est une fois de plus une arnaque en annonçant « A new great novel ») venant du récit N°26 (VOL.3 N°2). Il s’agit même d’une version allégée puisqu’il manque carrément la conclusion ! Mon agacement venait du fait qu’une fois encore, on ne trouve pas ce renseignement sur les sites que j’ai consultés à l’époque (j’en ai trouvé un depuis où c’est enfin mentionné). Je ne sais pas si l’illustration est originale puisque mon exemplaire numérique vient du site Radio Archives et en est dépourvue.
Couverture originale
Couverture Radio Archives
57) Slave-Caverns of Molundu : (automne 1953)
Ki-Gor a accepté un défi de la part de ses deux tribus amies : celui de leur ramener de la nourriture qui semble se faire rare dans la région. Ses recherches le conduiront à faire une découverte : Un crocodile taillé en pièces. Il n’a pas le temps de réfléchir à la cause car il tombe sur un buffle qu’il lui donne du fil à retordre avant qu’il ne parvienne à le terrasser et à gagner son pari. La veillé au coin du feu où l’ensemble des deux tribus attendent qu’il raconte sa chasse est soudain interrompue par le cri d’Hélène qui, fatiguée était allé se reposer loin des voix. Ki-Gor est le premier sur les lieux quand il tombe sur des fourmis géantes ! Ces dernières se tiennent sur deux pattes et se lance sur l’homme et ses alliés qui sont pétrifiés. Ki-Gor se défend vaillamment et constate qu’il n’a pas affaire à des insectes mais des hommes vêtus de telle façon qu’ils en ont l’apparence. Il prévient tout le monde et l’espoir change de camp. Massaïs et pygmées sont redoutables au combat et c’est vite la débandade chez l’ennemi. La poursuite continue dans la jungle. Quand tout le monde rentre au camp, le bilan est dressé. Hélène a surement été kidnappée par ces étranges hommes-fourmis et on déplore six morts parmi les Massaïs. Les espèces de haches dont se servaient leurs adversaires semblent être enduites de poisons. Pourtant, le soir, alors que le groupe s’organise pour retrouver la jolie rousse, les guerriers prétendus mort reviennent à eux. Une énigme de plus à résoudre pour nos héros. La piste les mène le lendemain aux abords d’une caverne où se trouve un groupe de Wasulis qui s’échine à boucher l’ouverture. Ki-Gor est alors persuadé qu’ils essaient d’enterrer sa femme et leur bondit dessus. Il s’empare du chef pour arrêter les guerriers pendant que pygmées et Massaïs sont prêt à l’affrontement. Le chef Wasuli ne comprend pas ce que lui veut l’homme de la jungle. Ils ont bouché cette issue pour couper la route des hommes-fourmis : une tribu qui vit sous terre et sort régulièrement faire des razzias dans leur tribu. Il propose de les emmener à leur village où le conseil pourra attester de sa bonne foi. Une fois sur que les Wasulis lui ont dit la vérité, Ki-Gor propose une alliance mais le chef est plutôt frileux. Après moult discussions, il confie tout de même dix hommes à ces insensés qui parlent de prendre d’assaut les hommes insectes dans leur antre. Un Wasuli non prévu se joint à eux en toute discrétion Il s’agit de M’Tiba qui ne supporte pas la lâcheté de son chef et qui leur annonce pouvoir les guider efficacement jusqu’à leurs ennemis. C’est sous une pluie battante que la petite armée arrive aux alentours de plusieurs entrées de cavernes qui d’après le guide Wasuli ne sont pas gardé. Ki-Gor part en éclaireur dans l’une des plus grandes et revient chercher le groupe en indiquant qu’il y a quand même des gardes. En deux files Indiennes, les hommes progressent dans les profondeurs de la terre dont les murs sont recouverts d’une substance phosphorescente permettant d’y voir. A une intersection, Ki-Gor et M’Tiba partent chacun d’un côté reconnaitre le terrain. Au retour des deux hommes, il est décidé de partir du côté qu’a indiqué le Wasuli qui semble plus sûr. Mais au bout du tunnel, une désagréable surprise les attend : Il s’agit d’un cul de sac. Tout de suite à l’arrière résonnent des cris et les Massaïs annoncent l’arrivée d’un groupe d’homme fourmis. Le combat qui s’engage est âpre. Après avoir résisté quelques temps, les grands guerriers redoutés dans toute la jungle commencent à tomber. Les Wasulis paniquent et s’empêtrent dans ceux qu’ils sont censés aider. De plus en plus esseulé, Ki-Gor parvient à remonter jusqu’à une intersection et tombe sur M’Tiba en fuite aussi. Au moment où il se croit débarrasser d’affaire, le seigneur de la jungle reçoit un coup sur le crane et tombe inanimé. Hélène a repris conscience et peu à peu, les souvenirs reviennent. Les hommes fourmis, un effleurement d’une hache et la paralysie (ce qui explique pourquoi les Massaïs étaient revenus à eux). Elle ne tarde pas à faire connaissance de ses geôliers et en apprend plus sur sa capture. Mebo est un capitaine ambitieux qui est au service du prince Ruk, un albinos. La tribu est gouvernée depuis toujours par une reine blanche et c’est la mère de ce dernier, Amra qui est en ce moment sur le trône. Ruk la déteste et veut le pouvoir mais les mâles ne peuvent gouverner. En se débarrassant de sa mère et en présentant Hélène comme son épouse, il pourra prendre les rênes du pouvoir et nommer Mebo capitaine de la garde royale en remerciement. Ki-Gor reprend conscience dans une prison d’où on vient très vite le chercher pour le présenter à la reine Amra du peuple des Molundus. Il n’y comparait pas seul. Il y retrouve N’Gesso, George et les quelques rescapés de l’embuscade. Ses amis sont dans un triste état ayant vraisemblablement été torturés. La rencontre a lieu dans une caverne géante. La reine est une albinos plutôt imposante entourée d’une cour dont les membres ont la même particularité. Amra demande des explications sur la présence de ses intrus qui ont décimé une partie de son armée. Celui qui répond aux questions n’est autre que M’Tiba. On apprend que ce traitre capturé par la tribu leur a proposé son aide et depuis espionne les Wasulis et fournit même des esclaves aux Molundus. Lorsqu’il évoque la cause de la venue de Ki-Gor, à savoir récupérer Hélène, Mebo grimace. Cet espion est en train de saboter son plan. La reine Amra n’est pas dupe du complot et en profite pour faire venir Hélène et de neutraliser son fils félon. M’Tiba n’est pas mieux considéré puisqu’il est emprisonné pour avoir fait perdre la vie à beaucoup de guerriers. Quand la reine veut s’en prendre à Mebo, celui-ci n’a plus le choix et dévoile ses cartes. Une partie des gardes lui est dévoué et c’est le moment de la révolte. Dans la confusion qui s’en suit, Mebo tue Ruk devenu inutile à ses plans et veut en finir avec Hélène car la reine s’est mise hors de portée. Ki-Gor et ses amis profite que les gardes s’entretuent pour essayer de s’échapper. Le seigneur de la jungle arrive à temps pour s’occuper du renégat qui finit par succomber et le quatuor reconstitué se charge de libérer les esclaves Wasulis qu’ils finissent par gagner à leur cause. Le village dans la grande caverne est incendié. Amra handicapée par les flammes qui l’aveugle ne peut éviter la foule qui la projette dans le brasier. Sur le chemin de la sortie, Ki-Gor repère la forme sans vie de M’Tiba lynché par ses compatriotes parmi lesquels se trouve la femme et les deux filles du chef Wasuli que le traitre avaient prises comme servantes. Tout ce petit monde rejoint le village et il semble bien que la menace des hommes-fourmis ait pris fin.
Enfin, un récit inédit après deux rééditions ! Il s’agit de l’un des plus longs (une soixantaine de pages) concentré principalement sur les scènes d’actions. Pas un des meilleurs mais agréable tout de même.
Une illustration non signée mais qui semble être de Vestal
58) Fane of the Python Prieistess : (hiver 1953-54)
Ki-Gor revient d’une inspection en pays Azele. Les rumeurs signalent la désertion de plusieurs villages. Le seigneur de la jungle tombe à deux reprises sur des safaris. Le premier est conduit par Tanner, une ancienne connaissance, trafiquant d’ivoire qui n’a jamais été condamné faute de preuve. Il demande la permission à Ki-Gor de traverser le territoire pygmée pour se rendre en pays Ugala pour y rechercher des plantes rares. Le refus est catégorique et Ki-Gor échappe à un coup de feu tiré « par accident » par un Askari. Le second safari est déjà, lui, sur ses terres. Il est mené par Simcoe, un guide là encore connu de notre héros. Il lui amène le docteur Parva qui lui demande de lui servir de guide à travers les marais Ugala afin d’y trouver une cité perdue qu’à apparemment découvert une précédente expédition mené par le professeur Wallace, le seul à avoir été retrouvé et qui avant de mourir a eu le temps d’en parler. La cité aurait en son sein un trésor inestimable mais la principale motivation du docteur est de retrouver son fils qui faisait partie de l’expédition. Pour Ki-Gor, seul N’Geeso ou un membre de sa tribu peuvent les aider puisque même lui ne connait pas bien ces marais. L’arrivée chez les pygmées réserve une mauvaise surprise au groupe. Ce dernier a été ravagé et de nombreux corps parsèment le village désert. Hélène, qui était censée l’attendre là a disparue elle aussi. Des survivants finissent par apparaitre et raconte comment ils ont été berné par un blanc (Tanner) qui s’est servi d’Hélène comme otage afin de pénétrer dans le village. Beaucoup ont été fait prisonniers et emmenés. N’Geeso était absent et à son retour, a lancé un appel aux Massaïs avant de se lancer avec quelques guerriers à la poursuite des agresseurs. Guidé à son tour par un des rescapés, le safari affronte les marais putrides parsemés d’obstacles mais remonte rapidement la piste lorsque des coups de feu éclatent. Ki-Gor part en éclaireur et tombe sur une bataille entre une partie des Askaris et les pygmées qui ont réussi à les encercler. Il retrouve le vieux chef et ensemble élabore une stratégie. Ils mettent le feu aux herbes environnantes afin de faire fuir les animaux et créer la pagaille au cœur de l’ennemi. Mais si la première partie fonctionne, la seconde connait quelques ratés. Ki-Gor reçoit une balle qui le fait choir de l’arbre dans lequel il était et ne doit la vie sauve qu’à son ami qui le sort de cette sale situation. Après l’incendie, le bilan est tiré. Tanner a réussi à passer entre les mailles du filet avec quelques Askaris et Hélène. Ki-Gor, dont la blessure n’était pas grave est bientôt rejoint par les membres du safari et voit aussi débarquer George et ses Massaïs. Ils étaient déjà en route au moment du message de N’Geeso, ce qui leur a permis d’être vite sur place. Comme à l’accoutumée, Ki-Gor décide de partir en éclaireur. Il parvient au bord d’un cours d’eau où il repère un indigène. Au moment où il se lance pour le capturer, un crocodile surgit et s’en prend à l’homme. Ki-Gor intervient et tue le saurien. L’homme reconnaissant s’appelle Valchas et est considéré comme un renégat dans sa tribu. Il vient d’être agressé par un homme blanc qui s’est emparé de sa pirogue et s’est engagé dans le cours d’eau. Devant la mine déconfite du lord de la jungle qui imagine que la poursuite va se corser, il le rassure en indiquant qu’il existe de nombreuses embarcations sur les berges. Le chemin emmène à la citadelle de V’lor dans laquelle vit un peuple retiré qui ne supporte pas les étranger et qui vénère le dieu serpent. La pirogue trouvée, la poursuite peut commencer. Grace à l’agilité des deux hommes, le terrain perdu est vite rattrapé. Ils arrivent aux abords de la cité auquel on ne peut accéder que par le cours d’eau, Tanner repère ses poursuivants et ouvre le feu. Du haut des remparts sont soudain lancés des étranges objets. L’avertissement de Valchas arrive trop tard. Une fumée s’échappe et enveloppe les pirogues et tout le monde se trouve plongé dans l’inconscience. A son réveil, Ki-Gor découvre à ses côté un blanc. Il s’agit de David Parva, le fils du docteur, seul survivant de l’expédition Wallace. Il raconte que les habitants de ce lieu ont une technologie très avancée par certains côtés, notamment en matière de nourriture synthétique et l’utilisation de plantes pour produire du gaz. Les deux hommes sont interrompus par la venue d’un visiteur. Il s’agit de Valchas qui a réussi à échapper au gaz en sautant dans l’eau. Il a la possibilité de les faire sortir mais il faut se dépêcher. Ki-Gor ne veut pas partir sans Hélène. Il apprend que par la couleur de ses cheveux, sa femme est considérée comme une prêtresse du dieu serpent et qu’elle doit se trouver dans le temple des sacrifices. Des gardes apparaissent alors et malgré une belle résistance, notre héros est emmené jusqu’au temple où il est attaché sur un autel. La cérémonie commence et il est surpris de voir parmi les prêtres Hélène qui chante et danse. Indiscutablement, elle semble droguée. En face de lui, des portes closes. Quand la danse atteint son paroxysme et que les prêtres se retirent, Hélène comme un zombie s’approche de son mari armée d’un couteau. Une des portes s’ouvre et de là sort le plus grand serpent que le seigneur de la jungle ait vu dans sa vie. Il parvient à sortir un peu sa femme de sa torpeur et celle-ci dans un moment de lucidité lui coupe les liens. Il s’empare du couteau et affronte la créature géante qu’il parvient à toucher au niveau de la tête. Trainant sa femme qui ressemble à un zombie, il sort du temple et a repéré une passerelle qui lui permet de se rapprocher de la sortie. Sur le pont, surgit Tanner qui semble lui aussi sur le point de s’évader mais le trafiquant s’en prend à Hélène et finit sa carrière tristement lorsque Ki-Gor en a terminé avec lui. Valchas et David ne sont pas loin quand ils entendent l’alerte. Sur le fleuve apparaissent des pirogues contenant les membres du safari ainsi que les Massaïs et les pygmées. Il s’agit d’empêcher les V’lor de projeter leur gaz sur eux. C’est à l’assaut de la tour que se lance les trois hommes et Hélène sortie de son hébétement. Même si leurs ennemis sont plus nombreux, le feu qu’ils enclenchent permet aux pirogues d’accoster et aux guerriers de mener un assaut rapide puis avant que les membres de la cité ait eu le temps de s’organiser, tout le monde est remonté en pirogue et reprennent la route du retour en laissant leurs adversaires panser leurs plaies. Les Parva projettent de revenir pour découvrir les merveilles de V’lor.
Si il faut trouver à la série un mauvais récit, le voici sans aucun doute possible. On arrive, on casse tout, on repart. Pas de méchant un peu intéressant, le récit qui se concentre sur plus de la moitié sur le voyage à travers les marais où il ne se passe pas grand-chose et ne développe même pas un peu cette civilisation perdue. La fin n’est pas loin.
Couverture originale venant du récit 21 (Vol.2 N° 9)
Couverture Radio Archives
59) White Cannibal (printemps 1954)
Ki-Gor, Hélène et les deux chefs prennent du bon temps quand ils sont dérangés par M’Mari, chef cannibale des Lakatulas qui annoncent que le grand chasseur blanc réputé dans toute la jungle et allié de leur tribu, Kurtz Kreel, a décidé que le seigneur de la jungle serait sa prochaine proie lors de la chasse qu’il organise. Ki-Gor décide de relever le défi seul contre l’avis de ses trois proches et suit en cachette la trace du cannibale qui l’entraine jusqu’au camp du chasseur. Trop sûr de lui, il descend pour s’emparer du blanc imprudent quand son pied se prend dans un piège. Coincé comme un débutant, il ne peut rien faire lorsque les quelques guerriers Lakatulas le mettent dans une cage sous les ordres de Keel qui pavoise. Ce dernier propose alors ses conditions à notre héros. Il lui annonce la capture de sa femme et des deux chefs par les Wandarobos, autre tribu cannibale qui détient le trio près d'une chute d’eau. Keel propose à Ki-Gor de le libérer et lui donne comme point d’arrivée l’endroit où sont retenus les siens. Une fois la cage ouverte, le grand blond ne perd pas de temps et prend tout le monde de vitesse, récupère des armes et retrouve l’endroit où il se trouvait pour constater qu’en effet, une bataille a eu lieu. Le jeu du chat et de la souris commence alors et il évite une première fois une salve de balles de son adversaire. Il se rend compte que les latakulas ne sont aux côtés du chasseur qu’en rabatteurs et ne s’en prennent pas à lui directement. Cela va lui servir. Une lionne lui barre la route et finit empalée sur sa lance. Il la laisse bien en évidence pour impressionner ses poursuivants. Il finit par échapper aux recherches et à son tour se met en embuscade. Lorsque l’occasion se présente, il surgit de derrière un fourré et fait voltiger le fusil de Kreel qui dégaine son pistolet qui finit aussi dans les herbes. Autour des guerriers en cercle, le duel peut commencer et Kreel sort son couteau. L’expérience du chasseur lui permet de mettre son adversaire en difficulté mais quand Ki-Gor le désarme en lui cassant le poignet au passage, il se rend compte qu’il n’est pas de taille au corps à corps. Trop tard, Ki-Gor le termine et il tombe mort. Les Latakulas lèvent leur lance à leur tour pour en finir lorsqu’ils s’écroulent les uns derrière les autres. Ki-Gor doit la vie à M’Mee, l’un des plus jeunes guerriers de la tribu d’N’Geeso venu avec du renfort. La troupe débarque dans le camp Wandarobos connu pour leur lâcheté et ceux-ci ne tardent pas à s’éparpiller dans tous les sens permettant la libération des prisonniers. Les retrouvailles sont heureuses et le petit groupe va pouvoir reprendre sa petite vie.
La dernière aventure de notre héros est aussi la plus courte (moins de 20 pages). Sympathique récit pour finir.
L'ultime illustration signée Chet Rizio Sur lequel je n'ai trouvé aucun renseignement.
Et voilà, nous arrivons au bout de l’étude du Tarzanide de pulps le plus prolifique. Je remercie les Pimpfeurs et les lecteurs qui m’auront suivi jusqu’au bout. Je consacrerai un dernier chapitre au personnage car ce dernier est revenu il y a une petite dizaine d’année pour quelques aventures sous la plume de différents auteurs dont je parlerai à ce moment-là.
A suivre donc...