Non, l'informatique a bon dos. Les couleurs dépendent du choix de l'opérateur.
Par exemple, quand Tovenaar fait une mise en couleur, elle est tout, sauf terne.
C'est bien la preuve que c'est possible !
Non, l'informatique a bon dos. Les couleurs dépendent du choix de l'opérateur.
Tu me rassures Jean-Louis, je croyais avoir un problème de lunettes !Jean-Louis a écrit : ↑lun. 31 août 2020, 18:36 Effectivement ; ce doit être influencé par la nouvelle tendance 'slim'. Baba là est tout mince, alors que c'était un colosse.
De plus, sur beaucoup de vignettes, le point de vue est vu d'en bas, comme vu par un enfant ou un nain.
Décidément, plus je le détaille, moins cet album me plaît...
Je l'ai terminé, le rebooth est une fausse information, il y a plein de références à des albums plus anciens et à un personnage présent dans plusieurs albums. La présence de Barbe Rouge en tant que corsaire et non en tant que pirate est expliquée. Après m'être habitué aux dessins de Carloni plus modernes que les albums précédents, j'ai bien aimé cette aventure en Amérique du Nord, il me tarde la suite. Je regrette la pâleur des couleurs, c'est le réalisme de notre époque.
L'histoire de Barbe-Rouge dont je parle est sortie en prépublication dans Pilote en 1965. Donc, les documentaires télé de Cousteau ou de Thalassa sont postérieurs.Ligne Durand a écrit : ↑sam. 21 mai 2022, 14:35 Je me souviens d'un Thalassa , un film de Cousteau , c'est loin ????
Cela relatait la coupe de troncs de bois sous l'eau;
Apparemment extrêmement dangereux.
Dans les 70 80's.
Si cela peut te donner une piste
En tout cas, l'immersion d'arbres dans les deux BD (Jacques Le Gall et Barbe-Rouge) n'a pas pour but la conservation de grumes et de troncs.Ligne Durand a écrit : ↑sam. 21 mai 2022, 19:53 L'immersion des arbres est un moyen de conservation.
Charlier a du en avoir connaissance .
A noter que Le trésor de Barbe-Rouge est pour moi une des meilleures histoires de la série du même nom (quand elle était gérée par Charlier, car ne parlons pas de ce qui a suivi son décès) et même l'une des meilleures histoires de Charlier toutes séries confondues. Je ne me lasse pas de la relire - c'est à ça qu'on reconnaît une très bonne BD -, je connais presque toutes les répliques par coeur, et c'est à plusieurs niveaux que je la trouve formidable : le découpage qui ne laisse aucun temps mort, le souffle de l'aventure en effet, le suspense d'un bout à l'autre, les rebondissements, les dialogues à la fois épais, fluides et bien écrits, le dessin propre et net, et le fait "qu'on s'y croirait", à bord des bateaux, aux côtés d'Eric et de son père adoptif, à prendre nous-mêmes des coups de soleil sur la dunette et à tanguer sur les vagues de la mer des Antilles.Jean-Louis a écrit : ↑dim. 22 mai 2022, 01:28 Ah, je me suis fait plaisir, je viens de relire le tome 4 (2014) de l'intégrale 2, qui contient 'Le trésor de Barbe Rouge'.
Mais pourquoi ne sait-on plus faire des histoires de ce niveau, aujourd'hui ?
Je suis attentivement les sorties, mais des vagues resucées, des histoires insipides, torchées par des auteurs petits-bras...
Où est passé le souffle de l'Aventure ?
Des héros courageux et entreprenants ?