On sent à travers chacun des ouvrages de Fred Vargas, transparaitre une solide formation scientifique.
Elle a été, à juste titre plusieurs fois récompensée, et, d'ailleurs celui que je vous présente maintenant :
« L'homme à l'envers » a reçu le Grand Prix du roman noir de Cognac.
En 4e de couverture :
Laisser les loups vivre en liberté dans le Mercantour, c'était une belle idée, dans l'air du temps. Ce n'était pas celle des bergers : quelques mois plus tard, la révolte gronde.
Est-ce bien un loup^qui tue les brebis autour du village de Saint-Victor ? Les superstitions ressurgissent, le bruit se propage : un loup-garou ? Lorsqu'une éleveuse est retrouvée déchiquetée dans sa bergerie, la rumeur tourne à la psychose. La Bête du Mercantour est dans tous les esprits, y compris celui d'Adamsberg qui, depuis Paris, guette les évènements.
Sauf erreur de ma part, on retrouve dans ce roman, pour la deuxième fois le Commissaire Adamsberg.
Comme toujours l'intrigue est savamment menée de bout en bout, on ne se lasse pas de cette lecture
