Geostorm
Posté : ven. 03 nov. 2017, 16:52
Geostorm est un film catastrophe de science-fiction de Dean Devlin.
Les acteurs principaux sont Gerard Butler, Abbie Cornish, Jim Sturges et Ed Harris.
Je ne vais pas être long car le film est très décevant.
Les acteurs ne sont pas du tout convaincant, la faute sans doute à une histoire sur le dérèglement climatique totalement abracadabrante.
On y croit pas une seconde, les acteurs non plus, et on peut se demander si le réalisateur n'est pas du même avis.
Les effets spéciaux font trop "cristal et verre brisé". Un peu comme les gros films catastrophe de Roland Emmerich.
Très vite, on se demande si le réalisateur n'est pas Roland Emmerich lui-même.
Surtout qu'on ne voit pas une goutte de sang, et pas une seule mort atroce à déplorer à l'écran.
Mis à part quelques personnes figées et congelées instantanément. Donc pas le moindre caractère horrifique.
Puis quand on se penche sur Dean Devlin on apprend qu'il était producteur et scénariste de la plupart des films de Roland Emmerich.
La boucle est bouclée. Il n'y a plus rien à rajouter, sinon que ce film est bourré de toutes sortes de clichés qui ont fait le succès du genre.
Tellement qu'on en fait une indigestion à la toute fin avec le méga cliché du happy end made in USA.
Les acteurs principaux sont Gerard Butler, Abbie Cornish, Jim Sturges et Ed Harris.
Je ne vais pas être long car le film est très décevant.
Les acteurs ne sont pas du tout convaincant, la faute sans doute à une histoire sur le dérèglement climatique totalement abracadabrante.
On y croit pas une seconde, les acteurs non plus, et on peut se demander si le réalisateur n'est pas du même avis.
Les effets spéciaux font trop "cristal et verre brisé". Un peu comme les gros films catastrophe de Roland Emmerich.
Très vite, on se demande si le réalisateur n'est pas Roland Emmerich lui-même.
Surtout qu'on ne voit pas une goutte de sang, et pas une seule mort atroce à déplorer à l'écran.
Mis à part quelques personnes figées et congelées instantanément. Donc pas le moindre caractère horrifique.
Puis quand on se penche sur Dean Devlin on apprend qu'il était producteur et scénariste de la plupart des films de Roland Emmerich.
La boucle est bouclée. Il n'y a plus rien à rajouter, sinon que ce film est bourré de toutes sortes de clichés qui ont fait le succès du genre.
Tellement qu'on en fait une indigestion à la toute fin avec le méga cliché du happy end made in USA.