Tovenaar a écrit :Jean-Louis a écrit :Silver Lug a écrit :
Lol je n'ai rien à réfléchir du tout, j'ai envie de savoir voilà tout...je ne vois pas à ce qu'il y a de mal sur ce point.
Bon, juste une précision, parce que je constate une incompréhension, et puis j'arrête là.
Je trouve que c'est une curiosité morbide et déplacée : c'est une personne qui est morte.
Seuls les albums des auteurs nous appartiennent, pas les détails de leur vie. S'ils veulent bien communiquer, d'accord, et ce sont eux qui décident des limites.
Si on va plus loin, c'est de l'intrusion, et un auteur et sa famille ont le droit d'être respectés dans leur vie privée.
Morris, on sait de quoi il est mort. Creuser plus les détails ne va pas le faire revenir, ni rien rajouter à son œuvre.
Montrer plus de curiosité, et c'est mon point de vue.
J'en ai fini sur ce sujet.
Je suis d'accord avec toi.
La décence et la pudeur sont deux notions qui semblent avoir disparu depuis longtemps.
J'en ai aussi fini avec se sujet et je ne répondrai pas aux messages suivants.
Vous devriez rajouter Na!
Allons messieurs à question anodine, réponses, je trouve bien sentencieuses et peu argumentées.
Si chaque fois qu'il y a des points de vue différents, la contradiction s'échappe, il ne reste plus qu'à être d'accord sur tout.
Donc je soliloquerai, surtout sur le dernier point soulevé par Tovenaar en l'illustrant d'une anecdote vécue dimanche.
Je fais un peu de muscu dans une salle. A côté un couple de septuagénaires dispute une partie de squash. A chaque point perdue la femme criait vaffenculo, merde, enculé...
Je m'approche donc du couple et demande poliment à cette charretière de réduire les décibels. S'ensuit un flot d'insulte de la douce compétitrice accompagné de menaces de l'auguste papi m'invitant à sortir pour régler les comptes.
Comme quoi la perte de décence peut effectivement remonter loin dans les générations sans pour autant que les protagonistes de cette historiette ne se posent la question des tristes causes du départ de Morris.
Le papi avait cependant héritait de Lucky Luke du lointain souvenir qu'il pensait encore vivace de tirer plus vite que son ombre.