Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
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- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 27 août 2003, 02:00
Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Quelques planches de Little Nemo, juste pour le plaisir des yeux (cliquer sur la planche choisie pour l'agrandir, puis 'Next' (en bas à droite) pour passer à la page suivante) :
http://www.comicstriplibrary.org/browse/results?title=2
http://www.comicstriplibrary.org/browse/results?title=2
- sill valt
- Disciple
- Enregistré le : lun. 26 oct. 2009, 05:50
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Pour compléter le message de jeandive, voici un autre visuel qui témoigne de cette influence artistique (le terme d’influence est vraiment préférable à celui de copie) et qui prouve qu’effectivement McCay comme d’autres à digéré les modes et les idées de son temps.
Ainsi dans le rêve de Mlle Massacre (ou « la revanche de la poupée ») l’on retrouve encore un personnage enfantin pris au piège du monde des rêves (voir un extrait en image en bas de ce texte) dans une histoire qui aurait aussi bien pu finir dans les pages de Little Nemo. Il est cette fois question d’une jeune fille qui se retrouve enfermée à l’intérieur d’une maison de poupée. Si l’on ajoute que ce rêve en image est peut-être une réinterprétation d’une page de George Cruikshank parue dix ans plus tôt en 1884, lequel pourrait aussi bien avoir trouvé son inspiration dans les pages d’Alice de Lewis Carroll l’on voit bien que tout n’est qu’influence…
J’avais pris soin de citer l’une des plus vieilles planches connues, celle de Watts Phillips avec cette étonnante histoire de personnage qui rêve qu'il se transforme en pudding que l’on réchauffe, découpe etc…Cela date de 1852 mais si l’on cherche on en trouvera d’autres encore.
Enfin pardon, à Antoine Sausverd dont j’ai massacré le nom en écrivant trop vite dans mon dernier message. Je vais l’éditer pour corriger cela.
Ainsi dans le rêve de Mlle Massacre (ou « la revanche de la poupée ») l’on retrouve encore un personnage enfantin pris au piège du monde des rêves (voir un extrait en image en bas de ce texte) dans une histoire qui aurait aussi bien pu finir dans les pages de Little Nemo. Il est cette fois question d’une jeune fille qui se retrouve enfermée à l’intérieur d’une maison de poupée. Si l’on ajoute que ce rêve en image est peut-être une réinterprétation d’une page de George Cruikshank parue dix ans plus tôt en 1884, lequel pourrait aussi bien avoir trouvé son inspiration dans les pages d’Alice de Lewis Carroll l’on voit bien que tout n’est qu’influence…
J’avais pris soin de citer l’une des plus vieilles planches connues, celle de Watts Phillips avec cette étonnante histoire de personnage qui rêve qu'il se transforme en pudding que l’on réchauffe, découpe etc…Cela date de 1852 mais si l’on cherche on en trouvera d’autres encore.
Enfin pardon, à Antoine Sausverd dont j’ai massacré le nom en écrivant trop vite dans mon dernier message. Je vais l’éditer pour corriger cela.
- jeandive
- Acharné(e)
- Enregistré le : ven. 29 avr. 2011, 23:29
- Contact :
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
le christmas pudding inspirait beaucoup a l'epoque , celui de Phillips cité et Christmas, A Dream Of Plum Pudding, de Linley Sambourne, 1876
apres bien sur cela reste " inspirant " mais on reste dans l'imagerie d'épinal niveau dessin , le trait et la modernité des compositions de Mckay fait vraiment la différence
2 images "hostingpics" disparues
apres bien sur cela reste " inspirant " mais on reste dans l'imagerie d'épinal niveau dessin , le trait et la modernité des compositions de Mckay fait vraiment la différence
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- Maître 1er Dan
- Enregistré le : lun. 14 juil. 2014, 21:35
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Bonjour aux beaux esprits,
Si je peux me permettre deux avis :
* Le fait d'avoir une édition anglophone ou francophone ne me paraît pas d'une grande importance.
D'une part, ce n'est pas de l'anglais très compliqué, et un bagage scolaire "ordinaire" devrait suffire.
D'autre part, les textes ne présentent pas un grand intérêt. Ils sont plutôt fastidieux à lire, ne sont pas d'une haute qualité littéraire et stylistique - contrairement aux dessins - et sont plutôt redondants par rapport aux dits dessins.
Pour ma part, je n'ai jamais réussi à les lire sur plus de 3 ou 4 pages, afin de mieux me concentrer sur le dessin. Je rêve même d'une édition complètement "sans paroles", "nettoyée" des textes et des bulles afin que ne demeure qu'une continuité graphique que je trouve amplement suffisante en elle-même.
Les textes n'aident pas à comprendre un récit, il n'y a pas d'intrigue, il n'y a pas à proprement parler de scénario, seulement un cheminement onirique ponctué de métamorphoses incessantes, un grand poème visuel, une symphonie graphique, une chorégraphie dessinée.
* Les deux liens donnés plus hauts par PiloteZéro et Jeandive et que je rappelle ci-dessous me paraissent assez clairs :
http://www.topfferiana.fr/2008/11/le-pe ... des-reves/
http://www.topfferiana.fr/2008/12/le-pe ... e-episode/
Il y a une inspiration évidente. Remarquons d'ailleurs qu'il s'agit des 3 premières pages de McKay qui seraient inspirées des deux modèles antérieurs, comme si McKay reconnaissait ouvertement ses devanciers, et avait commencé son oeuvre en leur rendant ainsi hommage avec ces adaptations pour continuer ensuite avec ses propres déclinaisons sur la lancée.
En outre, si un auteur s'inspire d'une idée d'un autre pour la magnifier, lui donner une ampleur sans égale, la marier avec d'autres et aboutir à un chef-d'oeuvre bien loin au-dessus de l'oeuvre d'origine, n'est-ce pas une bonne chose ?
Il me semble qu'il eût été dommage que l'idée du petit garçon qui rêve qu'il caracole à cheval ou qu'il tombe d'un échaffaudage ne fût demeurée que sous la forme des deux planches de Job et Rip.
Au lieu de cela, nous avons la planche de Job plus la planche de Rip plus les 420 planches de McKay.
Winsor McKay s'est sans doute inspiré encore d'autres choses, et c'est très bien s'il a su fusionner en une oeuvre unique exceptionnelle tout un ensemble d'idées antérieures et dispersées.
N'oublions pas non plus que le fait que des auteurs successifs déclinent plusieurs versions d'un même thème est une tradition. Combien de pièces de théâtre s'appellent "Electre" ou "Amphitryon" ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Moli%C3%A8re#Sources
Si je peux me permettre deux avis :
* Le fait d'avoir une édition anglophone ou francophone ne me paraît pas d'une grande importance.
D'une part, ce n'est pas de l'anglais très compliqué, et un bagage scolaire "ordinaire" devrait suffire.
D'autre part, les textes ne présentent pas un grand intérêt. Ils sont plutôt fastidieux à lire, ne sont pas d'une haute qualité littéraire et stylistique - contrairement aux dessins - et sont plutôt redondants par rapport aux dits dessins.
Pour ma part, je n'ai jamais réussi à les lire sur plus de 3 ou 4 pages, afin de mieux me concentrer sur le dessin. Je rêve même d'une édition complètement "sans paroles", "nettoyée" des textes et des bulles afin que ne demeure qu'une continuité graphique que je trouve amplement suffisante en elle-même.
Les textes n'aident pas à comprendre un récit, il n'y a pas d'intrigue, il n'y a pas à proprement parler de scénario, seulement un cheminement onirique ponctué de métamorphoses incessantes, un grand poème visuel, une symphonie graphique, une chorégraphie dessinée.
* Les deux liens donnés plus hauts par PiloteZéro et Jeandive et que je rappelle ci-dessous me paraissent assez clairs :
http://www.topfferiana.fr/2008/11/le-pe ... des-reves/
http://www.topfferiana.fr/2008/12/le-pe ... e-episode/
Il y a une inspiration évidente. Remarquons d'ailleurs qu'il s'agit des 3 premières pages de McKay qui seraient inspirées des deux modèles antérieurs, comme si McKay reconnaissait ouvertement ses devanciers, et avait commencé son oeuvre en leur rendant ainsi hommage avec ces adaptations pour continuer ensuite avec ses propres déclinaisons sur la lancée.
En outre, si un auteur s'inspire d'une idée d'un autre pour la magnifier, lui donner une ampleur sans égale, la marier avec d'autres et aboutir à un chef-d'oeuvre bien loin au-dessus de l'oeuvre d'origine, n'est-ce pas une bonne chose ?
Il me semble qu'il eût été dommage que l'idée du petit garçon qui rêve qu'il caracole à cheval ou qu'il tombe d'un échaffaudage ne fût demeurée que sous la forme des deux planches de Job et Rip.
Au lieu de cela, nous avons la planche de Job plus la planche de Rip plus les 420 planches de McKay.
Winsor McKay s'est sans doute inspiré encore d'autres choses, et c'est très bien s'il a su fusionner en une oeuvre unique exceptionnelle tout un ensemble d'idées antérieures et dispersées.
N'oublions pas non plus que le fait que des auteurs successifs déclinent plusieurs versions d'un même thème est une tradition. Combien de pièces de théâtre s'appellent "Electre" ou "Amphitryon" ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Moli%C3%A8re#Sources
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- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 27 août 2003, 02:00
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Juste pour préciser, ça ne me gêne pas du tout que McKay ait pu s'inspirer de Job ou d'autres.
Mais ce n'est qu'une possibilité, pas une certitude.
Autant que possible, il faut essayer d'être rigoureux, et d'éviter les sources de confusion ; de copier en coller, on finit par lire des choses totalement fausses sur l'Histoire de la BD.
D'autant que chacun ne dispose pas forcément de la connaissance des références de l'époque considérée, et peut croire (à tort) qu'est représentée une situation originale, alors qu'il s'agit d'un thème banal pour cette période-là.
En ces temps-là, un enfant de la classe moyenne qui avait un cheval de bois, c'était très fréquent ; et il n'était pas rare qu'un garçon de famille aisée ait un poney, ou fasse de l'équitation. Par ailleurs, l'époque étant relativement coercitive, l'évasion par le rêve était chose commune, et c'était un ingrédient très utilisé dans les œuvres de fiction de ce temps.
Je ne cherche pas à tout prix à prouver que McKay ne s'est pas inspiré d'autres auteurs, ce n'est pas le propos, mais à souligner que plusieurs des éléments utilisés pour Little Nemo sont extrêmement communs à l'époque de la création de cette bande, même si ils semblent exotiques à nos yeux de lecteurs modernes.
On est bien d'accord que le grand talent de McKay permit de traiter de façon magistrale, ô combien, toutes les sources d'inspiration dont il disposait.
Il est bien dommage que le grand format de réalisation de cette BD fut cause de difficultés d'édition, ce qui en fait une œuvre méconnue ; paradoxalement, nombreux sont les amateurs de BD qui connaissent Little Nemo, mais rares sont ceux qui l'ont lu en entier.
Mais ce n'est qu'une possibilité, pas une certitude.
Autant que possible, il faut essayer d'être rigoureux, et d'éviter les sources de confusion ; de copier en coller, on finit par lire des choses totalement fausses sur l'Histoire de la BD.
D'autant que chacun ne dispose pas forcément de la connaissance des références de l'époque considérée, et peut croire (à tort) qu'est représentée une situation originale, alors qu'il s'agit d'un thème banal pour cette période-là.
En ces temps-là, un enfant de la classe moyenne qui avait un cheval de bois, c'était très fréquent ; et il n'était pas rare qu'un garçon de famille aisée ait un poney, ou fasse de l'équitation. Par ailleurs, l'époque étant relativement coercitive, l'évasion par le rêve était chose commune, et c'était un ingrédient très utilisé dans les œuvres de fiction de ce temps.
Je ne cherche pas à tout prix à prouver que McKay ne s'est pas inspiré d'autres auteurs, ce n'est pas le propos, mais à souligner que plusieurs des éléments utilisés pour Little Nemo sont extrêmement communs à l'époque de la création de cette bande, même si ils semblent exotiques à nos yeux de lecteurs modernes.
On est bien d'accord que le grand talent de McKay permit de traiter de façon magistrale, ô combien, toutes les sources d'inspiration dont il disposait.
Il est bien dommage que le grand format de réalisation de cette BD fut cause de difficultés d'édition, ce qui en fait une œuvre méconnue ; paradoxalement, nombreux sont les amateurs de BD qui connaissent Little Nemo, mais rares sont ceux qui l'ont lu en entier.
- jmrazer
- Grand Maître
- Enregistré le : dim. 19 nov. 2006, 21:06
- Localisation : Tarn
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- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 27 août 2003, 02:00
Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Un chef d’œuvre de la BD mondiale, un classique.
Je ferai peut-être un article détaillé par la suite, si l'envie m'en vient suffisamment.
En attendant, un lien pour visualiser des planches, sur Gallica :
https://gallica.bnf.fr/html/und/littera ... de=desktop
Le souci, c'est que c'est paru à l'origine en très grand format, genre 40 x 50 cm, et que si on se procure les albums, soit on se retrouve avec d'immenses pavés, ou alors des éditions réduites où il faut une loupe pour voir tous les détails.
Je ferai peut-être un article détaillé par la suite, si l'envie m'en vient suffisamment.
En attendant, un lien pour visualiser des planches, sur Gallica :
https://gallica.bnf.fr/html/und/littera ... de=desktop
Le souci, c'est que c'est paru à l'origine en très grand format, genre 40 x 50 cm, et que si on se procure les albums, soit on se retrouve avec d'immenses pavés, ou alors des éditions réduites où il faut une loupe pour voir tous les détails.
- Tovenaar
- Administrateur
- Enregistré le : mar. 11 avr. 2006, 03:34
- Localisation : De Tovenarij
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
On peut voir 4 très belles pages de Little Nemo in Slumberland au format 22 x 28 cm dans "The Smithsonian Collection of Newspaper Comics" (1989).
Ce gros bottin de presque 800 pages fait 26 x 36 cm.
Ce gros bottin de presque 800 pages fait 26 x 36 cm.
Don't Cast Pearls Before Swine Empty Vessels Make Most Noise
- Raymond
- V.I.P.
- Enregistré le : mer. 31 déc. 2008, 13:43
- Localisation : Lausanne
- Contact :
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Il faut effectivement choisir entre les albums grand format, qui offrent la possibilité de contempler les planches à la grandeur nature (par exemple chez Delcourt), ou alors les albums de taille plus ou moins standard avec des planches rapetissées (par exemple chez Zenda), qui ne permettent pas de voir tous les détails mais qui restent quand même intéressants pour apprécier l'ensemble de la série.
Pour ma part, je n'ai pas choisi ! Je possède les deux.
Pour ma part, je n'ai pas choisi ! Je possède les deux.
-
- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 27 août 2003, 02:00
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Après avoir bien réfléchi, mon choix s'est fixé sur l'édition Evergreen /Taschen de janvier 2000, format 31,7 x 24 cm, 432 pages, et je suis très content de mon choix :
Le format reste maniable, et le niveau de détails est suffisant pour quelqu'un qui a encore une assez bonne vue.
Je pensais avoir besoin de me servir d'une loupe pour certains détails, mais finalement ce n'est pas nécessaire pour moi.
Si vous êtes intéressé, je suggère d'imprimer l'extrait suivant, en jouant sur les fonction d'agrandissement/réduction de l'imprimante, pour vous rendre compte de visu si cela vous convient.
Vous pouvez aussi le faire sur écran, en ajustant la taille d'image (Ctrl + , Ctrl -), mais le rendu n'est pas le même.
Le format reste maniable, et le niveau de détails est suffisant pour quelqu'un qui a encore une assez bonne vue.
Je pensais avoir besoin de me servir d'une loupe pour certains détails, mais finalement ce n'est pas nécessaire pour moi.
Si vous êtes intéressé, je suggère d'imprimer l'extrait suivant, en jouant sur les fonction d'agrandissement/réduction de l'imprimante, pour vous rendre compte de visu si cela vous convient.
Vous pouvez aussi le faire sur écran, en ajustant la taille d'image (Ctrl + , Ctrl -), mais le rendu n'est pas le même.
- Epsilon
- Maître 2e Dan
- Enregistré le : jeu. 16 juil. 2009, 18:41
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Oui celui-ci est magnifique et le meilleur compromis.
- Arlok
- V.I.P.
- Enregistré le : dim. 07 juin 2020, 11:09
- Localisation : Galaxity
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
J'ai le volume 1 de l'intégrale de Milan parue entre 1989 et 1991 (format 26,5 x 33,5 cm).
L'édition de Evergreen-Taschen en reprend d'ailleurs l'adaptation (trad. Accord avec lettrage de Martine Segard + préface de Richard Marschall).
Malheureusement, je n'ai que ce premier volume. Et ça fait un moment que je veux combler cette (intolérable) lacune.
Et j'ai vu qu'il y a une nouvelle édition intégrale qui sort chez Conspiration Éditions (connaissais pas), restaurée et avec nouvelle traduction, dans un format plus petit (22 x 29 cm), en 3 volumes + 1 pour Little Nemo in the land of wonderful dreams. C'est tentant, et surtout disponible. La couverture, qui respecte la charte graphique de l'éditeur, est quand même assez moche, en plus d'être souple... Mais ça donne une édition abordable (29€ le volume).
Pas encore eu l'occasion de le feuilleter.
Little Nemo in Slumberland - I - Winsor McCay
L'édition de Evergreen-Taschen en reprend d'ailleurs l'adaptation (trad. Accord avec lettrage de Martine Segard + préface de Richard Marschall).
Malheureusement, je n'ai que ce premier volume. Et ça fait un moment que je veux combler cette (intolérable) lacune.
Et j'ai vu qu'il y a une nouvelle édition intégrale qui sort chez Conspiration Éditions (connaissais pas), restaurée et avec nouvelle traduction, dans un format plus petit (22 x 29 cm), en 3 volumes + 1 pour Little Nemo in the land of wonderful dreams. C'est tentant, et surtout disponible. La couverture, qui respecte la charte graphique de l'éditeur, est quand même assez moche, en plus d'être souple... Mais ça donne une édition abordable (29€ le volume).
Pas encore eu l'occasion de le feuilleter.
Little Nemo in Slumberland - I - Winsor McCay
- Raymond
- V.I.P.
- Enregistré le : mer. 31 déc. 2008, 13:43
- Localisation : Lausanne
- Contact :
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Un album de 22 x 29 cm pour les planches de Little Nemo, cela parait quand même un peu petit.
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- Passionné(e)
- Enregistré le : jeu. 16 mars 2006, 08:27
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Bonjour , je dois avoir à vendre un ou deux tomes aux editions zenda qui sont la suite des milan .
- Arlok
- V.I.P.
- Enregistré le : dim. 07 juin 2020, 11:09
- Localisation : Galaxity
Re: Little Nemo in Slumberland, Winsor McCay
Après sa honteuse intégrale en 3 volumes souples au format réduit à 22 x 29 cm, Conspiration Editions sort, le 11 mai, une anthologie, cette fois en édition reliée et dans un format plus approprié de 29 x 37,5 cm (le même que l'édition de Taschen, me semble-t-il).
Contrairement à l'intégrale qui ne contient aucun rédactionnel, cette anthologie comporte une préface de Benoît Peeters.
Little Nemo in Slumberland - Anthologie
Néanmoins, à voir, pour la qualité de l'ouvrage (comme celle de la nouvelle traduction)…
Contrairement à l'intégrale qui ne contient aucun rédactionnel, cette anthologie comporte une préface de Benoît Peeters.
Little Nemo in Slumberland - Anthologie
Une anthologie, pourquoi pas, mais la question est : qui cela intéressera-t-il, si les amateurs de l'œuvre de McCay souhaitent en général la posséder en totalité ?Cette anthologie se propose de reconstituer toute l’histoire des aventures de Little Némo, en ne conservant que les planches permettant de la suivre d’un seul tenant. Un enchaînement minutieusement pensé pour savourer l’essentiel de ce premier chef-d’œuvre de la bande-dessinée.
Néanmoins, à voir, pour la qualité de l'ouvrage (comme celle de la nouvelle traduction)…