Pour le matériel PF, le circuit n&b était différent de celui des couvertures. Pour les comics comme Strange, il y avait de la couleur partout, donc probablement la couverture et le fascicule étaient imprimés au même endroit.
Ceci est juste pour essayer de comprendre, ce que tout le monde ne souhaite pas forcément.
Dans mon expérience PF, je sais que les couvertures étaient préparées
à plat. Pour les comics, je ne sais pas, mais je ne vois pas de raison pour faire autrement.
Quand la couverture était à plat, le
dos était juste une partie d'un grand dessin avec des couleurs, 1er plat, dos et 4e plat confondus. Le fait que l'on puisse avoir une bande blanche au milieu d'un fond jaune est donc bizarre, puisque cela entraîne une méthode de mise de la couleur différente. S'il s'était juste agi d'un flacon d'encre jaune que l'on a oublié de remplir, cela ne se serait pas manifesté ainsi.
Pourquoi aurait-on refait le calibrage de mise en couleurs de l'ensemble 'plat' pour y réserver une bande blanche ?
Il faudrait regarder si l'imprimeur des deux exemplaires a été le même.....
Les tirages des comics LUG étaient importants, ce qui a pu entrainer l'utilisation de plusieurs Imprimeurs. Un des imprimeurs peut avoir repris le calibrage du n° précédent dont le dos était blanc ?
Les imprimeurs savaient évidemment gérer l'indépendance du dos dans la grande image, j'en ai vu plein dans des couvertures 'à plat' d'Arédit.
Pour reprendre Astérix, cité dans mon gag, dans un album normal courant de 48p, il y a 3 cahiers de 16p. Certains cahiers ont leur numérotation de pages dans un rond à fond bleu, et pour d'autres, le fond est noir. Je dis bien, dans le même album. Et pour beaucoup d'albums, on trouve des exemplaire de la même édition chez plusieurs imprimeurs. Mais je n'ai jamais réussi à relier les deux faits. C'est curieux. Les cahiers étaient-il imprimés quelque part puis regroupés et mélangés pour être reliés ?