Re: La Database et ses fantômes
Posté : mar. 20 mars 2018, 19:44
Oui, c'est bien ce Michael Hubbard. Jack Kirby ou Gil Kane ne sont pas nés sous ces noms-là, mais c'est ainsi qu'on les connaît. Il en va de même pour Michael (ou Mike) Hubbard.Database a écrit :Je reconnais là la présentation BACKUP qui me semble difficile à gérer avec mon optique de stockage intermédiaire pour mise en base de données ultérieures.
Dans un format texte tabulé (ou à séparateur), il y a des informations positionnelles et des informations à mot-clé. Avec ton format, je ne m'y retrouverais pas.
Par ailleurs, l'utilisation en colonne façon Excel ne convient pas parce qu'il faudrait trop de colonnes pour que cela tienne dans un écran normal. Le colonage convient pour des index, pas pour le niveau détail, il faut ajouter une dimension horizontale ... Imagine que l'on te propose les smileys de cet écran en une seule ligne de 250 colonnes ... pas pratique, hein !
Quelques petites remarques :
- les items ne sont pas numérotés. C'est mieux pour y faire référence ensuite.
- la pagination française ne figure pas. Quand on a des doutes, c'est gênant
- je suis plus partisan de séparer l'info française de celle de la source. Cela permet sans doute de gérer plus facilement le niveau de détail fourni à celui qui regarde ces infos.
- J'utilise aussi les abréviations. Cela implique un glossaire. Au plus probable, dans la forme finale que je proposerai, il n'y en aura pas pour limiter les efforts du lecteur ... Par ailleurs, un peu de texte en plus dans une page WEB a peu d'impact.
- Je n'aime pas trop la technique qui consiste a écrire trois fois le même nom ... Il doit y avoir moyen de faire autrement.
Et une précision :
Le Michael Hubbard dont tu parles est-il Mike Hubbard (1902/1976) ?
Parce que, en fait, son vrai prénom ne serait pas Michael mais Ernest Alfred !
Bien sûr ces données ne seront pas publiées simplement en tant que telles. Dans le cadre de l'encyclopédie sur laquelle je travaille, il faut t'imaginer des apports supplémentaires sous la forme de notices sur les éditeurs, les titres, les scénaristes et les artistes. Michael Hubbard aura droit à la sienne, comme beaucoup d'autres. Il y aura aussi des index croisés sous forme abrégée en annexes (partant des publications originales).
Concernant tes autres remarques :
• chaque numéro aura sa couverture reproduite, avec les données présentées à côté.
• le texte sera aéré (une ligne vide entre chaque élément du fascicule), et chaque item (à part les couvertures) détaillé sur au moins trois lignes :
- une ligne provenance, série, titre et pages
- une ligne crédits
- une ligne source originale et éventuelles rééditions
- une ligne pour les commentaires éventuels
De ce fait, les lignes telles que tu les vois dans ce que j'ai posté seront en réalité étagées pour la publication papier.
• je ne numérote pas les items pour ne pas surcharger. Dans une base de données cela peut être utile pour y faire référence de manière abrégée, mais sur papier les éventuelles références seront développées de façon lisible sans effort
• je ne rends pas compte non plus de la pagination dans la publication, seul m'importe le nombre de pages de l'item lui-même. C'est à toi lecteur de me faire confiance, j'ai bien compté le nombre de pages (qui peut être précisé au quart ou au tiers de page près). Et si l'erreur est possible sur le nombre de pages, pourquoi ne le serait-elle pas sur la pagination ? Le fait de la détecter peut-être plus facilement n'enlève rien au fait que subsiste l'inexactitude. Je préfère donc entrer une donnée exacte que deux données dont l'une serait fausse.
• pour la redondance du même nom dans les crédits, il suffit de regrouper par fonction (p/i/w). C'est ce que je fais systématiquement lorsque je mets en forme mes données pour une publication papier (voir Back-Up), et ce sera le cas également. Il suffit simplement d'appliquer des modifications codées en grep.
S'il n'y a qu'un crédit, il est implicite qu'il s'agit du dessinateur. Si d'autres fonctions peuvent être créditées, elles sont précisées.
Plus concrètement, voici ce que donnerait la version papier de ce que j'ai posté plus haut. Cela prend une moitié de format A4. Pour une série comme Cathy, on peut donc imaginer un ouvrage de 123 pages pour les numéros réguliers, plus 11 pour les spéciaux, plus 1 pour les rebrochages de 1989. Soit 135 pages de données bibliographiques, plus les annexes, plus les pages de notices.